Après le Café du Nord, sur les quais se trouvait, dans les années 1910-1915, le "Modern Garage" des cycles Théron. Sur la droite du Quai, un parapet d'un mètre de hauteur sur soit 45 centimètres environ, construit sur 200 mètres pour soutenir la chaussée. Ce parapet sera détruit et les platanes seront intégrés au trottoir en encorbellement. L'escalier pour descendre sur la rive du Vidourle existe toujours. Il permettait d’accéder à un terrain pour jeux de boules.

Le Père Bozio. Photo prise en 1907, dans la cour de l'actuelle maison Peyriat, rue Emilien Dumas. On devine le temple, à l'arrière plan. Il y avait à cette époque là, et, jusqu'à la seconde guerre mondiale,quatre ou cinq commerçants ambulants, qui avec leur charrette et leur cheval allaient vendre leurs marchandises: mercerie, quincaillerie,épicerie, légumes et fruits, chaussures, dans les villages des environs.

Voici deux boutiques voisines de celle de "la Pescalune". Au bas de la Taillade, en allant vers la rue du Pont, le magasin Castan, vente de légumes, à droite. La boutique de gauche a longtemps été tenue par Marie Blanc, que les vieux Sommiérois ont bien connue. On trouvait de tout dans son magasin.

Le distillateur A. Paladan "Constructeur", devant l'alambic de son invention, rue Abbé Fabre. Cet ingénieux personnage est aussi l'inventeur d'une pompe pour le vin, ancêtre de la pompe dite "catalane" que l'on trouvera chez tous les vignerons pendant plus d'un demi siècle. Coll. AJ

La Société Bouliste Sommiéroise. 1913.

Elle avait fière allure! Son magasin se trouvait sous les arceaux de la halle. Elle était épicière et vendait des légumes, mais aussi des produits de droguerie et de quincaillerie et des boissons, d'aprés ce qu'on voit sur la photo. Originaire de Lunel, on l'appelait " la Pescalune". C'était la grand-mère de Jean-Jacques Rousset.

Le temple de Sommières début XXe siècle. Coll AJ

Caves Mabelly. Jules que l'on voit au milieu de ses ouvriers possédait l'immeuble de la poste. Il ressemble à F Mistral.Coll AJ

Avec l'augmentation du nombre d'automobiles, le Garage Théron, quai Frédéric Gaussorgues, s'est installé dans de plus vastes locaux, rue E Dumas, à l'emplacement de l'actuel garage Peugeot. Lors de l'inondation de 1933, le chauffeur du car renversé par le courant, a attendu, perché sur son véhicule, la fin de la crue. Les cars "départementaux" étaient alors garés, pour la nuit, dans la cour et les remises de la maison Veyssière, face à la place du temple. Coll G.V.

Le "Front Populaire" de Léon Blum, Maurice Thorez, Roger Salengro (mai 1936-avril 1938) prendra fin en avril 1938 avec le gouvernement d'Edouard Daladier. Voici un document rarissime, voire unique: la photo du défilé du Front Populaire à Sommières, prise le 14 juillet 1936 par Marcel Benoit (dit Fauvette). Coll. AJ

Automne: saison des labours. Il fallait être un sacré professionnel pour conduire un attelage de six chevaux (on aperçoit le château de Villevieille dans le fond). Coll. YM.

Encore un tonnelier. Celui-là était un ouvrier des"Caves Jules Mabelly" que l'on voit avec son personnel devant le portail de la maison, située à l'emplacement de l'actuelle Poste. J. Mabelly ne se contentait pas de faire le négoce des vins, il fabriquait également les tonneaux pour le transport.

Photo sur plaque de verre de la collection d' Yves Mouret que nous remercions.

A côté du café Pascal devenu café de la Poste, et qui s'est appelé aussi café de la Renaissance, il y avait le Garage Renault. Au centre, les bras croisés, on retrouve Elie Lhermet, le père d'Yves.

Suite à l'installation du bureau de Poste, en face, il est devenu le "Café de la Poste", que nous avons encore aujourd'hui, la Poste s'est déplacée d'une centaine de mètres.

Boucherie dans la rue jardinière vers 1925. Coll PG

Course de vachettes sur la Place du Marché lors de la fête à Sommières en 1910. Coll AJ

Roque le maréchal habitait la maison de François Martin, Place du Bourguet, tout à côté de l'Institution Maintenon. coll. GG

Début du XXe les animaux, souvent des vachettes se rendaient à pied de leurs prés au village où devait avoir lieu la course. Ils étaient entourés seulement de quelques gardians pour les accompagner.

L’arrivée se faisait alors en bon ordre : les animaux entourés des gardians (ouvriers agricoles) du mas.

Arrivée tranquille au village. Direction le "bouaou"

A un km environ du lieu d’arrivée, des cavaliers et des amateurs en carrioles venaient les attendre. Les badauds étaient assis sur les murs du bord de la route. (village de Mus)

Magasin situé place Jean Jaurés, à l'emplacement de l'actuel salon de thé "Cap Vial". Photo datant vraisemblablement des années 1910.Coll PG

C'était en 1945 ou 1946. Dans la rue Emilien Dumas, devant le Garage Valette (Garage Peugeot maintenant). Maurice Valette a les mains dans le moteur. Et autour de lui: "Lolo" Perrier, Georges Pelissier et Gilbert Valette qui s'initie au métier. Coursier gonfle le pneu. Coll GG

Avant les arênes à l'Esplanade, c'était sur la place du Bourguet (place de la République) que se tenaient les courses de taureaux ou plutôt de vachettes. Le rond était rapidement constitué de charrettes et de demi-muids. L'accés était gratuit! ( photo sur plaque, coll. Y.Mouret.)

Exercices militaires des élèves du Collège de l'Immaculée Conception rue Taillade, dans la cour du Collège. A la suite de la défaite de 1870 une loi a mis les exercices militaires au nombre des matières d'enseignement des écoles publiques de garçons.

Garage Palhon auto-moto, rue G. Bruyère, actuelle Caisse d'Epargne. Admirez la voiture! Le jeune accroupi à droite est Fernand Carrière dit l'Afrique.. Coll A.J.

Moulin à huile. Il était situé rue Emilien Dumas, face au garage Peugeot. La photo est de 1935. Le garçonnet à l'abondante chevelure, à côté de son père, est Gérard Guiraudet. A cette époque on attendait que les olives soient mûres pour oliver, suivant le dicton:"Pour la sainte Catherine(25 nov) l'huile est à l'olive et la récolte peut commencer." Le moulin a fermé en 1956, l'année du terrible gel des oliviers.

Rue Taillade en septembre 1901. Coll AJ

Jeunes filles du pensionnat Maintenon vers les années 1888. Tableau champêtre très estival: râteau en bois, fourche de Sauve, épis de blé, petites fleurs. Mais la tenue ne semble pas très adaptée pour la moisson... Coll AJ

Le château de Villevieille, au début du siècle dernier. Il a beaucoup changé depuis! coll AJ

Nos voisins de Salinelles. Photo originale début du XXe siècle ayant servi pour la série de cartes postales JBENP. Le moulin de Patte sur la route de l'ancienne gare, en amont du pont submersible sur Vidourle. Coll AJ

Le rond des charrettes lors de la fête à Boisseron, 1930. Coll AJ

L'esplanade avant 1900. On l'appelait la promenade basse. Les arènes n'existent pas encore. A gauche la buvette " le Chalet du Vidourle". Coll AJ.

Usine du coton, la "SOCOMI" quartier l'Arnède année 1940 à 1950. Peut-être en reconnaissant certaines personnes on pourra dater plus précisément la photo.

Entre le salon de coiffure de L.Fage et le bureau des frères Ressy et Lachaud, dont nous avons publié les photos, il y avait alors l'Hôtel de l'Orange qui fut réquisitionné par les troupes allemandes, au cours de la guerre 39-45, au moment de l'occupation de la zone dite libre, le 11 novembre 1942. Le café du Nord se trouve toujours au même emplacement , Quai Gaussorgues.

Un des nombreux ateliers de tonnellerie de la ville situé route de Saussines. Le jeune garçon à la casquette à gauche est R. Gal, alors apprenti. Il reprendra à son compte l'atelier pendant un demi siècle. Sa nièce possède la collection unique de tous ses outils

Installation du "garde corps" à l'Esplanade en mai 1909. Sur la photo: bras croisés, Malafosse. Premier plan: Saumade, tenant le "taillant" François Bondor, avec le cheval: Pansannel. Coll. SB

Jolie trouvaille: une belle photo originale du début du XXème ayant servi à la réalisation dUne carte postale. Excepté le pavé, peu de choses ont changé en plus d'un siècle. Coll AJ

Cette salle de l'ancien collège de "l'Immaculée Conception" était appelée "salle de récréation". Une scène de théatre y était installée en permanence. Elle était disposée à l'opposé de son emplacement actuel. C'est maintenant la salle polyvalente. Sur la droite, une porte permettait l' accés aux jardins. Le chemin vers les Mauvalats n'existait pas. Cette salle a été construite à partir de 1844, date de l'achat des bâtiments de l'ancien couvent des Ursulines par l'évêque de Nîmes.

La charcuterie Rey était située place Jean Jaurès, à l'angle avec la rue Jardinière. A gauche: Juliette Rey, grand-mère maternelle de Mireille Vallorani. A côté d'elle, Elise Rey, l'arrière grand-mère de Mireille. Au premier plan Suzette Rey, épouse Vallorani, mère de Mireille ... et le chien Pompon. photo prise vers 1930. Merci à Mireille pour ces renseignements.

Vue des remparts du château coté Est. Photo de 1898. Au premier plan le bâtiment du PLM dit maison "Redon". M. Redon, ancien employé y a habité pendant de nombreuses années. Elle existe toujours. L'entrée du tunnel ferroviaire se trouve en bas à gauche. Avant l'éboulement, le rempart devait être impressionnant.

Delphine Jolbert, la tante de Maryse Sirvent, née Jolbert. La boulangerie existe encore , à l'angle de la rue Dr Chrestien, (rue de l'église), et de la rue Antonin Paris (Grand Rue)

Voici une photo de 1907, très originale. " Les terribles inondations dans le Sud de la France. La visite du Ministre du Commerce M. Doumergue .Le seul moyen de transport dans les plaines inondées." Commentaire écrit au dos du cliché par le photographe Charles Trampus 18 rue Cadet Paris.

Le Magasin de Fage, coiffeur se trouvait Quai Frédéric Gaussorgues, à l'emplacement où se trouve actuellement le magasin du barbier. A gauche, son ouvrier Joseph Fiorenzano, dit la Tulipe qui était le père de Paulette et de Ninette, coiffeuses dans la Rue Antonin Paris (Grand Rue)

La photo est prise rue général Bruyère, près de la porte Narbonne. Bourget, le maréchal a ensuite installé son atelier place du Bourguet (qui s'appelait déjà: Place du Bourguet avant sa venue) dans les locaux du garage Palhon Les frères Bonnell ont succédé à Bourguet. Maintenant c'est la Caisse d'Epargne qui y a ses bureaux.

Famille Lèbre, matelassier, rue Narbonne

Joseph Fiorenzano qui travaillait chez Fage a ouvert son propre salon de coiffure; "CHEZ JOSEPH", Rue Antonin Paris. On le voit avec sa fille Paulette, qui continue à travailler avec sa soeur "Ninette" dans ce salon.

Le 7 janvier 2018, nous vous avons présenté la devanture du magasin qui, vers 1910, occupait l'emplacement de l'actuel " Cap Vial", place Jean Jaurès. Voici, au même emplacement, environ 1960 : " LE CASINO ". Toutes les personnes présentes sur la photo ont été identifiées (Merci à Dominique Valmalle ) : à gauche et à droite de la photo, les gérants: Hélène et André Cambessede. Avec à leurs côtés : Augustine Rey et Etienne Rey

Après la photo de Delphine devant la boulangerie Jolbert, à l'angle de la rue du Dr Chrétien, voici la boucherie Jolbert, à côté. Les magasins des frères Jolbert étaient situés de chaque côté de la porte, qui existe encore aujourd'hui. On voit un morceau de cette porte, à gauche de la photo. M Jolbert, le boucher était le père de Maryse Jolbert, épouse Sirvent. A l'emplacement de la boucherie se trouve maintenant, le magasin " L'Amertume."

Autet, cordonnier rue Neuve, actuelle rue Général Bruyère. Photo extraite de l'article de L et G Salom, bulletin n 26,

Photo du haut de la rue des Baumes, ancienne Régordane. Coll. Y; Mouret. Cliché: fin XIXème siècle. Pour des renseignements sur la Régordane sommiéroise, voir l'article de A. Jeanjean dans le SSH n° 26

Une autre photo du coordonnier Autet, actuelle rue Général Bruyère. Voir article dans bulletin nº26.

Jean Lèbre, taillandier, vitrier, au travail dans son atelier rue Gal Bruyère, partie droite du magasin "des Cévennes à la Camargue". Photo 1930-1934. Outre un excellent professionnel, c'était un redoutable pécheur de carpes. Sa barque était en permanence amarrée au bas des quais. Dès que quelqu'un lui signalait un de ces gros poissons, il fermait son échoppe et ne revenait qu'avec sa prise.

La boutique des Demoiselles Castan, Rue du Pont, à côté de l'emplacement de l'ancienne Librairie papeterie Trazic. (En montant, à droite) La photo date des années 1910-1920

Construction du trottoir quai Frédéric Gaussorgues. Délibération du CM d'août 1931. En haut avec le canotier Raoul Gaussen Maire. Archives Rose Gaussen belle fille du Maire

Boutique de Mme Dalard, (à droite), modiste, à l'angle de la rue des Fours et de la rue Antonin Paris C' était la mère d' Armel Dalard qui a été pendant de nombreuses années Adjoint au Maire. C'est maintenant le magasin de C.MOD, après avoir été celui de Picard, fleuriste.

Magnifique cliché "Place Jean Jaurès-Halles", pris en 1936 pour un Album Photographique intitulé " Ville de Sommières. Projet des Eaux". Nous ignorons le nom du photographe. Par la suite la photo a été utilisée pour la réalisation d'une carte postale assez rare.

André Goubert maquignon à Salinelles traversant le pont avec des chevaux de trait bretons lors de la foire aux bestiaux des rameaux. Merci à Gregory Monnier pour la photo.

Boutique de fruits et primeurs de J.Font, rue Paulin Capmal. Cette photo ainsi qu'une trentaine d'autres, figure dans le bulletin de Sommières et son Histoire de 2018.

La maison Aldou, place du Bourguet (place de la République) occupait tout le bâtiment, de l'actuel Crédit Agricole (où se trouvaient alors les remises renfermant les ballots de paille, de fourrage et les sacs de grains) jusqu'à la Poste. Le magasin sur la photo du début du siècle dernier, d’après l'habillement des personnages, était une droguerie vendant huiles, savons, engrais, tourteaux, sulfates de cuivre et de fer...etc. C'est maintenant la boulangerie - pâtisserie "L'Amandine". Coll. P.G.

Le garage Valette, rue Emilien Dumas en 1938. Devenu depuis le garage Peugeot. Au centre, Maurice Valette qui fut pendant de longues années Président de l'équipe de football de l'USS. ( l'Union Sportive Sommiéroise). Coll GG

Voici une photo du magasin Maurel Frères qui était situé rue Antonin Paris, à côté de la boucherie Jolbert. On y vendait surtout de la vaisselle, mais aussi des ustensiles de cuisine,des statuettes et,des articles funéraires: couronnes mortuaires, plaques souvenir pour tombeaux, etc.

La photo a dû être prise après la guerre 14-18. On ne sait rien sur cette ligne d'autobus. Elle devait desservir Nîmes ou Montpellier. La seule chose qu'on peut affirmer c'est que la photo a été prise à la Place des Aires devant le socle de la croix. (Une photo de la croix des Aires Communales publiée le17juin 2018). Etait-ce de cet endroit que partait l'autobus?

Une autre vue du magasin Maurel Frères (voir la 1ère photo postée le 6 janvier), rue Antonin Paris, à côté de la boucherie Jolbert. Un des Frères Maurel porte sur la manche de sa veste un crèpe noir, ( il pouvait aussi se porter sur le revers du col de la veste) en signe de deuil. Le fils Maurel, Pierre, dit Pierrot a fait les beaux jours de L'USS (Union Sportive Sommiéroise) comme footballeur, pendant plusieurs saisons.

C'était le bureau des frères Ressy, Henri et Emile, et d'Henri Lachaud, courtiers en vins, vers 1930. Ce local était situé à l'angle du Quai Gaussorgues et de la Rue des Fours. On reconnaît ce local grâce à la rampe en fer forgé du balcon. Sinistrés par le Vidourle lors de l'inondation de 1933, ses occupants ont déménagé Rue Général Bruyère dans un local situé au 1er étage.

Nous cherchions depuis longtemps où situer cette boutique de modiste (ou chapelière). C'est chose faite! On a remarqué que sur la carte postale du Quai Cléon Griolet, publiée le 17 février, on trouve la même rampe en fer forgé au balcon du magasin "Le Bazar Sommièrois , à côté du "Café Glacier". D'aprés les tenues des personnes on doit pouvoir dater la photo de 1920 environ. Il y avait alors, trois boutiques de modistes à Sommières, sans compter celles exerçant à domicile.

Face au moulin de la Grave, qui autrefois se trouvait à l'intérieur des remparts, il y avait sur la rive droite du Vidourle un autre moulin. La digue qui existe encore actuellement, en forme de V inversé partageait le courant d'eau du Vidourle par moitié de façon à alimenter les deux moulins. Ce moulin était appelé le moulin du Roupt. Il a été en partie détruit lors d'une inondation et totalement inutilisé par la suite puis démoli. On ne voit plus rien de ce moulin aujourd'hui.

Sur la carte postale publiée le 14 avril on voit, lors d'une inondation, une barque au niveau du jardin Bessières qui bordait alors la dernière maison du Quai Cléon Griolet. Sur une photo prise peu de temps après, on constate que le jardin a disparu, et que la municipalité a implanté à cet endroit un poids public, ou "bascule", pour peser les chargements des charrettes ou camions.

Une photo plus récente, prise dans les années 50. C'est le magasin de vêtements Yves Lhermet que l'on voit avec ici sa fille. Il était situé dans la rue du Pont, à gauche en montant vers l'horloge. La vitrine n'existe plus. On en a fait deux magasins. La partie droite a été transformée en magasin de coiffure pour hommes.

Les premières arênes, en bois, de Sommières. Elles étaient installées à l'entrée de l'Esplanade, à côté du café-buvette qui deviendra plus tard, Le Chalet du Vidourle. En arrière plan on voit le bâtiment de l'ancien collège. Ces arênes ont été emportées par la crue du Vidourle de 1933. Ces photos sur plaque de verre proviennent de la collection d' Yves Mouret que nous remercions.

Photo sur plaque de verre de la collection d' Yves Mouret que nous remercions.

Un jour de marché dans les années 80 (ou un peu avant). Photo Max Sagon

Photo sur plaque de verre de la collection d' Yves Mouret que nous remercions.

Course de vachettes sur la Place du Marché lors de la fête à Sommières en 1910. Coll AJ

Photo sur plaque de verre de la collection d' Yves Mouret que nous remercions.

Photo sur plaque de verre de la collection d' Yves Mouret que nous remercions.

Nettoyage de la ville au lendemain d'un jour de foire. Le travail était généralement donné en adjudication à des jardiniers qui recuperaient le fumier dans des pastières en bois. Carte des années 1930. Coll AJ

Grande barque utilisée sur Vidourle pour le transport du foin coupé sur les berges, des bois, des sables et graviers. Le patron, chemise blanche et cravate noire est assis au milieu de ses ouvriers. Carte ayant voyagé en 1912. Coll AJ